Critique par Félicia Fournier
Dans
ce roman, on retrouve Lou, une jeune femme qui ne vit que pour le ballet. Le
livre est divisé en trois parties. Dans la première, on accompagne Lou dans sa
vie de ballerine de 17 ans qui suit des cours avec des professeurs russes après
l’école. Dans les deuxième et troisième parties, Lou a 18 ans et se retrouve en
Europe et même au Moyen-Orient pour tenter de faire vivre son rêve de devenir
une étoile. Plusieurs événements feront néanmoins douter la jeune femme sur ses
aspirations.
J’ai
beaucoup aimé ma lecture de S’envoler, presque qui nous transporte brièvement
dans le monde du ballet. Il s’agit d’un petit roman de 160 pages qui se lit
très bien. J’en aurais définitivement pris plus de cette histoire ! Le fait que
ce livre soit écrit par Lydia Bouchard qui est elle-même danseuse de ballet
apporte beaucoup de crédibilité à l’œuvre, même si certains événements peuvent
nous paraître parfois invraisemblables. Au final, nous suivons le parcours
touchant d’une jeune femme qui se cherche dans ce monde.
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