Langue : Français traduit de l'anglais
Nombre de pages : 291
Éditions Gallimard
Résumé : Un homme sans nom qu'on imagine jeune adulte nous raconte sa vie depuis qu'il est presque prisonnier de l'insomnie. Plus particulièrement, il nous raconte ce qu'il vit depuis sa rencontre avec Tyler Durden et la création du Fight Club.
Critique : Qui n'a jamais entendu la phrase : " Première règle du fight club : Tu ne parles pas du fight club. " ? Moi, je l'ai entendue à plusieurs reprises. Je savais qu'on référait à un film et à un livre, mais sans plus. Je n'avais qu'une très vague idée de ce qu'était Fight Club. Il y a quelques temps, je suis tombée sur un article qui disait qu'il s'agissait du bestseller de l'année de ma naissance. Impossible que je ne le lise pas.
J'ai été agréablement surprise de découvrir ce livre qui est loin de se résumer qu'à sa mythique phrase. On se retrouve en réalité dans la tête d'un jeune homme qui se cherche. Pour cette raison, la narration semble un peu décousue et difficile à suivre au départ. Cependant, vers la fin du roman, toutes les pièces se mettent en place et on comprend qu'on a affaire à un narrateur menteur qui se fait prendre à son propre jeu.
Je crois que cette oeuvre fait partie de celles qui doivent être lues au moins une fois dans une vie. Écrit il y a plus de vingt ans, ce roman est rempli de subtilités et de vérités cachées, en plus d'être une grande oeuvre littéraire.
Pour ce qui est du Fight Club, " Deuxième règle du fight club : Tu ne parles pas du fight club. "
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